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Nous ne guérissons de la violence que lorsque nous racontons nos histoires

Photo du rédacteur: The Hour of ChangeThe Hour of Change

«En tant que conteuse, je me suis rendu compte que les femmes grandissent en portant le fardeau d'être des femmes, de se faire dire qu'elles sont un être inférieur. caste, appartenance ethnique ou origine spécifique.

Lorsque les femmes s'assoient ensemble, nous parlons de la façon dont nous avons traversé la violence à différentes étapes de notre vie. Pour les femmes, c'est toute une vie de porter cette expérience, et nous sommes toujours fermés ou réprimandés ou éclairés par la douleur que nous portons.

Nos histoires deviennent insignifiantes parce que nous sommes forcés de croire qu'il y a des problèmes plus larges qui doivent être abordés.

Nous ne parlons pas assez de nos luttes et de nos expériences. Nous ne guérissons que lorsque nous racontons nos histoires. "


Subina Shrestha est une journaliste et cinéaste primée du Népal. Subina a dirigé une couverture médiatique importante, souvent en tant que seule journaliste de radiodiffusion internationale sur la scène; et raconté des histoires de personnes dont la vie a été affectée par des catastrophes naturelles ou causées par l'homme.


...UN Women

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